Représente la Personne Divine, selon Abellio.
Selon R. Allendy, il représente "la vie individuelle confondue avec la vie cosmique; rapports de la vie de l'ensemble à la vie des parties dans l'individualité - 5 + 5 = 10".
Représente la limite de l'humanité, selon E. Bindel.
Nombre représentatif de la Vierge Marie.
Représente l'homme total et complet, symbolisé par les deux mains qui se joignent au moment de la prière pour refaire l'unité sous forme de dix, mais pouvant aussi s'exprimer sous la forme de 55, "addition dans le sens de la divine sagesse" selon Saint Martin.
Nombre symbolisant des grâces de bénédiction, selon L. Wood.
Selon Lima de Freitas, il symbolise la fusion des sexes, l'être androgyne, mais qui, en dépit de sa perfection, reste strictement humain.
Chiffre des guérisseurs.
Cinquante-cinq années séparent l'Annonciation de l'Assomption de la Vierge.
Ce nombre se retrouve dans le chapelet de la Vierge Marie: le cercle formé par le collier est composé de 55 grains. Dans les visions de Marie d'Agréda, celle-ci fait mention d'un chiffre mystérieux rattaché à un collier dont la description fait penser à celle du chapelet. Quelques jours avant la naissance de Jésus, la Vierge Marie fut portée dans le ciel. En signe des privilèges qu'Elle avait comme Épouse de Dieu et comme Reine de l'Univers, Elle fut revêtue par deux séraphins d'habits et de joyaux splendides, dont un collier auquel pendait trois pierres précieuses avec un chiffre mystérieux dont le sens ne lui fut pas découvert. Ce n'est qu'après la naissance du Sauveur que le secret des chiffres de l'ornement lui fut révélé.
En tant que Corédemptrice avec le Christ, la Vierge ressentie de façon mystérieuse sur son corps toutes les souffrances de son Fils depuis le début de sa passion. Suite à la mort de Jésus en croix, ces souffrances continuèrent encore et ce, jusqu'à la résurrection de son Divin Fils. Pendant 55 heures elle supporta ses souffrances depuis le début de l'agonie de Jésus à Gethsémani jusqu'à sa résurrection. Le chiffre 55 pourrait être aussi vu comme l'union des 5 plaies physiques de Jésus avec les 5 plaies mystiques de Marie.
Le chapelet de la Sainte Famille est composé de 55 grains, divisés en cinq dizaines. Sur les petits grains, les noms de Jésus, Marie et Joseph sont invoqués. Sur les gros grains, une prière est adressée au Coeur Sacré de Jésus pour protéger nos familles. Enfin, sur la croix, le priant dit "actes de Foi, d'Espérance et de Charité".
Les apparitions de la Vierge Marie à Amsterdam, Pays-Bas, ont débuté le 25 mars 1945, fête de l'Annonciation, et se sont poursuivies jusqu'au 31 mai 1959. Il y eut un total de 55 apparitions. Notre-Dame est apparue à une femme d'âge moyen du nom d'Ida Perleman et lui a confié des messages concernant les événements futurs dans le monde et dans l'Église. La prophétie la plus significative donnée par Notre-Dame concerne le dernier dogme de l'histoire mariale qui sera promulgué par le pape. Ce dogme déclarera que désormais, Marie portera les titres de Corédemptrice, Médiatrice et Avocate.
Une étude rabbinique énumère 55 prophètes et prophétesses, divisés en 48 prophètes et 7 prophétesses. Cette liste apparaît dans le Commentaire de Rachi sur Méguilla 14a.
Les Bouriates connaissaient 99 dieux, divisés en 55 bons et en 44 mauvais. Ces deux groupes de dieux lutteraient depuis très longtemps entre eux.
Le Padma-purâna est une oeuvre hindoue remontant environ au 12e siècle. Elle décrit le monde et ses péripéties alors qu'il n'était encore qu'un lotus doré, d'où le nom du texte, composé de 55 milles vers répartis en cinq livres.
Dans le bouddhisme, le Taishô issaikyô est une édition moderne du Tripitaka chinois. Cet ouvrage de cent volumes comporte 3360 Sûtra et divers écrits. La partie principale compte cependant 55 volumes.
Les 55 messages du Christ à Dozulé reçus par Mme Madeleine Aumont.
Dans les messages du Christ à Dozulé reçus par Mme Madeleine Aumont, celui-ci demande que les hommes construisent une immense Croix Glorieuse, dont Il donne les dimensions, ainsi qu'un Sanctuaire de la Réconciliation. L'association RESSOURCE a élaboré un projet de construction de cette Croix Glorieuse, par une étude de faisabilité. Selon les plans, celle-ci est formée de 55 barreaux montant vers le ciel dans les 12 échelles de la Croix.
Le Hits'eu, qui est un commentaire du Yi King, développe le système des nombres: "Au Ciel appartient 1; à la Terre 2, au Ciel 3; à la Terre 4; au Ciel 5; à la Terre 6; au Ciel 7; à la Terre 8; au Ciel 9; à la Terre 10 (...). Les nombres célestes atteingnent 25, et les nombres terrestres 30. Les nombres du Ciel et de la Terre atteignent ensemble 55. C'est par ces nombres que s'effectuent les changements et transformations, et que les démons sont maintenus (...)".
Durant les épopées sumériennes, datant de plusieurs millénaires avant Jésus-Christ, il fut découvert que les sumériens avaient un procédé unique consistant à allouer à certains de leur dieux des rangs numériques. C'est ainsi que le père des dieux, Anou, avait le numéro 60, suivit de son épouse, Antou, ayant le numéro 55. Leurs decendants suivaient par la suite, tous espacés par un facteur 5. Le dernier des dieux sur la liste, Ninhoursag, avait le nombre 5, faisant ainsi un total de 12 dieux: 6 divinités maxculines et 6 divinités féminines. Les nombres se terminant par 5 étaient attribués au divinités féminines.
Selon W. Keller, dans son livre "La Bible arrachée aux sables": "Babylone n'était pas seulement la capitale des affaires mais aussi une métropole religieuse. Une inscription révèle que s'y élevaient cinquante-trois temples consacrés aux grands dieux, cinquante-cinq chapelles de Marduk, trois cent chapelles pour les divinités de la terre, six cents pour celles du ciel, cent quatre-vingts autels pour la déesse Ishtar, cent quatre-vingts pour les dieux Nergal et Adad, et douze pour d'autres divinités". Cela fait un total de 1380.
Le décibel, dixième partie (déci) de l'unité bel, sert à mesurer l'intensité des sons. La voix humaine a pour intensité moyenne 55 décibels et le tonnerre, 70.
Somme des deux séries de chiffres suivants: 1, 2, 4, 8 et 1, 3, 9, 27, il est aussi la somme des chiffres un à dix, c'est-à-dire le dixième nombre triangulaire. Anatolius souligne que 55 est encore la somme des parties aliquotes de 36 - 1+2+3+4+6+9+12+18 = 55 -, la somme de 5 nombres triangulaires successifs - 3+6+10+15+21 = 55 - et la somme des 5 premiers nombres carrés - 1+4+9+16+25 = 55.
Anniversaire de mariage: noces d'émeraude.
Valeur numérique du nom de la Vierge Marie - alchimia -, obtenu en utilisant l'alphabet numérique suivant: A=1, B=2, C=3, D=4, E=5, F=6, G=7, H=8, I=9, K=10, L=11 et M=13. Cette information fut divulguée par la Sainte Vierge à Andreae, frère de la Rose-Croix, dont l'histoire est racontée par lui-même dans les "Noces Chymiques de Christian Rose-Croix", Editions Anthroposophiques Romandes, Genève. Mais une anomalie bizarre fut signalée par certains commentateurs: une 'erreur d'imprimerie' - reproduite ici dans les valeurs numériques des lettres - se serait glissée dans le nombre qui fournit le total de l'addition puisque les lettres du mot alchimia donnent le total 56 et non 55. Pourtant, la Vierge déclare catégoriquement que le chiffre de son nom est 55.
Ce nombre peut être considéré comme étant la valeur numérique du premier mot de la Genèse si on écrit le premier verset en langue grecque et non en hébreu:
E n a r c h e p o i h s e n 5 50 1 100 600 8 5 80 70 10 8 200 5 50 55 709 428 Aux origines il fit
L'évangile de Marc évoque «le buisson» (Mc 12,26) avant que Jésus, interrogé par un scribe récite la Parole (Mc 12,30). C'est la seule fois où l'évangéliste emploie le mot buisson. En grec, la valeur numérique du mot buisson est de 55 en utilisant la guématrie en "n": 2+1+19+15+18 = 55.
La valeur numérique du mot «unique» en grec donne 55 en utilisant la guématrie en "N": 5+50 = 55.
Le nombre 55 est employé 2 fois dans la Bible.
Par 55 fois dans le Nouveau Testament il est fait référence à la Vierge Marie: 26 fois par le mot mère, 10 fois par le mot femme et 19 par le nom de Marie. Dans le TOB, le nom de Marie revient 55 fois.
A la toute fin de son évangile, Saint Jean consacre au total 55 versets - chapitre 20 et 21 -pour décrire les agissements du Christ qui ont eu lieu après sa mort, c'est-à-dire sa résurrection et ses apparitions.
Dans le Livre de Job, le nom de Job revient 55 fois.
Le mot «sauveur» revient 55 fois dans la TOB.
Les mots trône et nombre sont employés 55 dans le NT.
Dernière modification: 23 septembre 2000